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Huit manches prévues en 2024, le Qatar au calendrier ?

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27 sep. 2022 • 12:00
par
lmercier
Le WEC est appelé à grandir dans les prochaines saisons. De six meetings en 2022, le championnat passera à sept l'année prochaine, puis huit en 2024.
Photo : MPS Agency

On connaîtra d'ici la fin de semaine le calendrier WEC 2023 qui passera à sept manches, conformément à ce que Endurance-Info vous annonçait en juillet dernier, puis au début de ce mois. 

 

Un retour sur le tracé portugais de Portimão au printemps, probablement le week-end des 15/16 avril, semble être ce qui se dessine. Les concurrents auraient donc trois courses avant les 24 Heures du Mans et autant après.

 

De sept manches en 2023, le calendrier WEC devrait passer ensuite à huit l'année suivante, comme l'a révélé Frédéric Lequien, directeur général du WEC, lors d'un point presse organisé en marge du meeting belge de l'European Le Mans Series. Vers quelle destination ? Un circuit européen ? Un circuit plus lointain ? Il faut encore patienter pour en savoir plus officiellement, mais pour rappel, le WEC avait totalisé jusqu'à neuf manches en 2016 et 2017.

Le Qatar en 2024 ? 

On croit savoir que l'Allemagne ferait plaisir à plusieurs constructeurs. L'Angleterre fait aussi partie des rumeurs entendues dans le paddock, quand un retour en Chine ravirait à coup sûr Peugeot. Mais personne n'est capable à ce jour de prédire les conditions d'accueil dans le pays en 2024.

 

D'autres pays lointains ont manifesté en leur temps recevoir le WEC, tels l'Arabie Saoudite et l'Afrique du Sud. Mais selon nos informations, le pays qui tiendrait la corde pour recevoir le Championnat du Monde d'Endurance dans deux ans serait le Qatar et son tracé de Losail. 

 

La seule relation entre le Qatar et le WEC remonte à 2014, quand les champions du moment y avaient été reçus dans le cadra du traditionnel Gala de la FIA. 

Commentaires (12)

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Steve McQ

27 sep. 2022 • 12:10

Le championnat coûte toujours trop cher par rapport aux retombées qu'il génère, en dehors des 24h bien sûr. Etendre le calendrier est une erreur stratégique grave car cela ne fait que renchérir le déficit des concurrents en fin de saison, y compris pour les constructeurs. C'est d'autant plus impardonnable que l'erreur a déjà été commise il n'y a pas longtemps et que cela s'est terminé par le départ d'Audi et Porsche pour cause de "coûts trop élevés" du championnat. Rester à 6 manches dont 3 à durée supérieure à 6h me semble une voie beaucoup plus raisonnable en terme de calendrier pour laisser aussi la place de vivre à l'IMSA et l'ELMS.

Nicosk3

27 sep. 2022 • 12:41

Steve McQ, j'entends ta mise en garde. Cependant, on change de paradigme ce plateau LMdH et notamment Porsche et Ferrarri. Cela vaut à moins avis 50 000 tickets par jour de course. Aussi ne pas avoir de meeting en Allemagne et au UK est une erreur. Quant au Quatar s'il paye certains frais. Mais il reste évidemment au marketing de l'ACO du travail...

tvillemant

27 sep. 2022 • 12:49

Steve McQ - Je vous suis totalement sur cette prudence nécessaire, notamment pour les écuries privées que les organisateurs sont bien contents de trouver quand les constructeurs désertent. L'Endurance sort d'une période creuse, s'apprête à négocier une période faste... qui précèdera une nouvelle ère plus creuse.

Dans les années à venir, les constructeurs constitueront une bonne partie du plateau, le LMP2 disparaissant même du WEC à l'horizon 2024. Ne resteront donc en lice que des Hypercar engagées par des usines ou de grosses écuries privées et des GT3... couvées par des entités privés.

Mais certains constructeurs se sont également plaints d'un nombre trop faible de course. On parle tout de même là d'un championnat du monde.

Après, le choix du Qatar peut être discutable quand, de surcroît, il n'y a ni course en Angleterre, ni course en Allemagne, et je ne vous parle pas de l'Amérique du Sud. Mais tout comme Bahreïn, la question économique entre aussi en jeu. Et vous imaginez bien que c'est tout sauf un hasard...

L'ELMS vivra grâce aux équipes LMP2, quant à l'IMSA... ne vous inquiétez pas, ils n'ont besoin de personne ?

Zorro

27 sep. 2022 • 13:56

Porsche et Audi ne sont pas partis à cause du coût trop élevé du championnat à l'époque mais parce qu'ils devaient faire des économies en prévision de la note qu'ils allaient prendre avec le Dieselgate.

boiseaubert

27 sep. 2022 • 14:30

je serai curieux de savoir comment ais fait le calendrier.
circuit historique européens ou le promoteur a besoin de public pour rentrer dans ses frais.
circuit du moyen Orient où il n'y a pas de risque financier...marché qui peux intéressé Toyota cadillac mais pas Peugeot.
ou des circuits prestigieux mais sans justification économique et marketing

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