Auto

Paul Ricard : les tops et les flops du meeting...

17 mai. 2021 • 10:00
par
lm@endurance-info.com

Le Paul Ricard marquait le début de saison International GT Open sur un meeting varié mixant GT, Cup et monoplace. Par manque de temps, Endurance-Info ne peut pas être présent sur tous les meetings GT Open. Si la série dirigée par Jesus Pareja n'est pas la plus connue, elle n'en demeure pas moins intéressante. Endurance-Info vous présente les tops et les flops du meeting...

LES TOPS :

  • Inception Racing : on l'a dit ici, le team britannique enchaîne les meetings les uns après les autres aux quatre coins du monde. Quand on connaît la difficulté de se déplacer, cela mérite un top.
  • Ivan Peklin : en arrivant de la Formule 4, on ne savait pas trop si l'Ukrainien allait tenir le rythme. Team Lazarus peut être rassuré sur le potentiel de sa nouvelle recrue âgée de 20 ans avec une victoire en course 1 décrochée en compagnie de Jordan Pepper.
  • Les horaires du meeting : pour avoir fait un tour des popotes, les avis sont unanimes sur les horaires du week-end des différentes séries.
  • Dorian Boccolacci : le Cannois de l'équipe Martinet by Alméras était déjà dans nos tops après Magny-Cours en Porsche Carrera Cup France. Comment ne pas le remettre une deuxième fois après avoir une nouvelle fois marqué les esprits dans le Var : une victoire, une deuxième place.
  • La Balance de Performance : la BOP en place en GT Open satisfait le plus grand nombre, qui plus est dans un championnat majoritairement Pro-Am. On retrouvait six marques dans le top 7 en Q2.
  • Maxence Maurice : le pilote IMSA Performance aligne les victoires en Porsche Carrera Cup France dans la classe Am. Quatre courses et autant de victoires de catégorie.

LES FLOPS :

  • Dominik Schraml : la figure de l'Allemand en course 1 aurait pu avoir des conséquences bien plus importantes. Le pilote de la Mercedes-AMG GT3/Twin Busch by Equipe Vitesse a tapé la McLaren/JP Motorsport dès le début de course 1.
  • Où sont les Ferrari ? Le GT Open a souvent fait la part belle aux Ferrari, et ce depuis bien longtemps. On ne sait même pas jusqu'où remonter pour ne pas voir la moindre Ferrari au départ.
  • Quelques GT absentes : il manque encore quelques autos en GT Open pour que la grille soit parfaite. La diversité des marques est clairement là. Espérons que les quelques équipes absentes au Paul Ricard soient de la partie en Belgique.

Commentaires

Connectez-vous pour commenter l'article