Le Mans
Podcast Track Limit - Débriefing des 24 Heures du Mans 2024
22 juin. 2024 • 11:30
Retrouvez notre débriefing audio des 24 Heures du Mans 2024, qui ont sacré la Ferrari 499P n°50 - Ferrari AF Corse de Miguel Molina, Nicklas Nielsen et Antonio Fuoco.
Endurance-Info revient dans le nouveau numéro de son podcast Track Limit sur les 24 Heures du Mans 2024. Analyse et dernières informations sont au menu de cet épisode, écoutable en version audio (pas de vidéo pour ce numéro pour des questions de timing).
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Commentaires (20)
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Racing Dan
18 juin. 2024 • 16:22
Fan2B
18 juin. 2024 • 22:07
Je vous trouve bien cléments sur certains sujets :
- le temps passé sous safety car pendant la nuit ; je voudrais bien obtenir des infos plus précises quant à la réelle intensité de la pluie pendant 4 heures ! (désolé, je dormais ... !)
- la comédie du pass-around ; dès lors qu'on safety car est activé, on sait que lorsque l'incident sera clos, il faudra encore au minimum 40 minutes pour libérer les voitures. c'est véritablement du n'importe quoi.
- la performance des Alpine qui de mon point de vue n'est pas acceptable. Elle aurait pu l'être s'il n'y avait pas de point de comparaison : Ferrari, Porsche, Cadillac on démarré leur projet Hypercar en 2023 et ont dès la 1ère année fait preuve de performance ET de fiabilité. Que les moteurs cèdent au bout de 6 heures quand on est le groupe Renault, ce n'est juste pas sérieux.
- le comportement de la direction de course, des commissaires, par rapport à Ferrari. Il y a vraiment 2 poids 2 mesures entre Ferrari et les autres. Les pénalités sont minimales, le laxisme est érigé en règle. Par ailleurs, je sais bien qu'une victoire de Ferrari est bien plus vendeuse pour les 24 heures et l'ACO qu'une victoire de Toyota, mais après le scandale du chgt de BoP 10 jours avant l'épreuve l'année dernière, je pense qu'encore cette année la BoP privilégiait Ferrari. Il n'y a qu'à voir la vitesse de pointe des 499P ainsi que la facilité avec laquelle elles revenaient vers la tête même après pris une pénalité (certes de toutes façons symbolique). La seule raison pour laquelle Toyota a pu s'accrocher au rythme des Ferrari pendant la dernière partie de la course était due à la pluie qui nivèle les performances (il semblait aussi que les Toyota avaient l'air parfois plus à l'aise sous la pluie que les Ferrari). S'il avait fait sec, les Toyota aurait vu partir les Ferrari.
Enfin, je terminerai ce commentaire en regrettant le choix une nouvelle fois répété de Toyota de n'engager que 2 voitures. Preuves à l'appui : Ferrari avait 3 voitures et ils ont bien fait, les 3 ayant été en tête à un moment ou un autre, mais ayant aussi subi quelques infortunes (souvent de leur fait, mais comme c'était faiblement puni ...) l'une d'entre elles passant au travers des plus gros problèmes pour au final l'emporter. Cadillac avait heureusement 3 voitures aussi bien en 2023 qu'en 2024, là aussi l'une d'entre elle arrivant lors des 2 éditions à passer à peu près entre les gouttes pour obtenir un résultat notable (plus notable en 2023 qu'en 2024). Même réflexion pour Porsche qui grâce à ses 3 voitures usine a pu en placer une au final en 4ème position à l'arrivée. ça paraît tellement simpliste à énoncer, mais une 3ème voiture, c'est 50% de chances en plus de bien figurer ; Compte tenu du niveau global de performance/maîtrise de Toyota, je suis persuadé qu'ils auraient gagné s'ils avaient eu la fameuse 3ème voiture. Mais c'est vrai qu'avec des si ...
C'est juste incroyable que le 1er constructeur automobile mondial ne puisse pas dégager le budget pour une 3ème voiture. J'ai lu quelque part que le sujet est à l'étude mais que même si le principe était acté, il faudrait un long moment pour pouvoir le mettre en pratique. Là aussi, l'argument pourrait éventuellement être recevable s'il n'y avait pas Cadillac ou Porsche qui dès leur 1ère participation ont pu engager 3 voitures. Ferrari aura mis 3 voitures en piste dès leur 2ème participation aux 24 Heures.
Cette édition des 24 Heures me laisse sur ma faim comme celle de 2023 : Ferrari est favorisé à divers niveaux et ça n'est pas du sport, c'est du business. J'adore les 24 Heures du Mans (ma 1ère fois au Mans date de 1975, j'ai loupé la course 2 fois depuis 1978 inclus l'édition à huit clos du Covid), je n'aime pas le business ...
Meunier Lionel
19 juin. 2024 • 10:39
Faites juste gaffe à ne pas trop vous couper la parole svp , et pour vous et pour nous 😁
Alef
19 juin. 2024 • 14:55
bruno.queru@gmail.com
20 juin. 2024 • 11:25