Le Mans

Podcast Track Limit - Débriefing des 24 Heures du Mans 2024

24 Heures du Mans
22 juin. 2024 • 11:30
par
EI
Retrouvez notre débriefing audio des 24 Heures du Mans 2024, qui ont sacré la Ferrari 499P n°50 - Ferrari AF Corse de Miguel Molina, Nicklas Nielsen et Antonio Fuoco.
© EI

Endurance-Info revient dans le nouveau numéro de son podcast Track Limit sur les 24 Heures du Mans 2024. Analyse et dernières informations sont au menu de cet épisode, écoutable en version audio (pas de vidéo pour ce numéro pour des questions de timing).

 

 

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Commentaires (20)

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Paddock54

17 juin. 2024 • 19:25

Merci pour ce débriefing ( que j'écoute actuellement ) , très rapidement mis en ligne.
Les oiseaux ( piou - piou ) que l'on entend en arrière plan, c'est sympa 😉
Je serai curieux de voir la vidéo tiens 😀

lmercier

17 juin. 2024 • 19:33

Le podcast existe bien en vidéo mais j’avais un souci de présentation. 😀

dmeyers

17 juin. 2024 • 20:03

Déjà ?! Bon, ce soir y a match donc cela sera pour demain matin. Impatient je suis 😉

CLOCLO31

17 juin. 2024 • 21:41

Je vous trouve bien indulgents avec Alpine : un châssis (ORECA) excellent et éprouvé sur l'Acura (il y a d'ailleurs un air de ressemblance entre les 2 voitures , sans dire que l'une a pompé sur l'autre) qui peut expliquer pour une part la performance et un moteur Mécachrome puissant (voir en particulier la Vmax) mais pas fait à la base pour l'endurance : Qui a fait ces choix ? Renault n'avait -il pas les moyens de construire un moteur fait pour l'endurance ?

Vous ne parlez pas de l'avantage théorique des LMh -4RM sur le mouillé : même si la pluie n'a pas été constante, régulière et uniformément répartie (sauf pendant la nuit, mais on était sous SC) durant la course, ça a du jouer dans la domination des Ferrari et des Toyota : Pour moi, visuellement, les meilleures voitures du week-end en liaisons au sol et motricité , en tout cas, les plus homogènes, et qui avec une position de départ très défavorable sont revenues dans la tête de course en quelques heures

Sauf en qualification, la Cadillac de Bourdais n'a pas été la meilleure des trois engagées en course , avant son retrait : la composition de l'équipage y est-elle pour quelque chose ?

Enfin, la polémique sur le niveau de sanction par les commissaires dans le cas du contact Pier Guidi-Hartley pose un problème juridique : doit t'on simplement juger la "gravité" du fait de course sans trop se préoccuper des incidences ou au contraire prendre en compte ces dernières , qui en l'occurrence étaient majeures ( une possible (probable ?) victoire Toyota qui s'envole ) ? vaste débat....







Beb

17 juin. 2024 • 21:56

La puissance sur le mecachrome s'obtient par le régime (à Spa sur place c'était flagrant), et prendre du régime c'est pas bon pour l'endurance généralement.
Pour le reste oui le chassis est déjà plus que connu. Bon au moins elle est jolie et sa sonorité est sympa...

Pour Peugeot, même si la BOP n'explique pas tout, je ne comprends pas l'ACO.
Tu as un constructeur que tu plantes à cause d'évolutions règlementaires, qui se fait suer à refaire une voiture, qui corrige entre autres un pb de vitesse de pointe.
Et qu'est-ce que tu fais avec la BOP ? Tu la plombes.
Avec du poids (Imola et Spa, et en partie là aussi au Mans)
Tu la brides en W (imola, Spa et Le Mans où tu lui mets un correcteur négatif au dessus de 250)
Tu l'étrangles en conso

Ou alors l'ACO veut pas de Peugeot (ou lui en veut d'avoir exposé ses atermoiements règlementaires et parlé de la BOP) ou n'en veut plus et veut provoquer son départ.
A la limite pourquoi pas ... Mais si la BOP semble ok globalement, je trouve que coté Peugeot il y a un souci. Et franchement ça me ferait suer qu'ils partent (et je pense que c'est ce qui va arriver)