Super GT

Fuji 450km, Libres 1 : Makino décroche le meilleur temps pour Honda

Super GT
3 mai. 2023 • 8:48
par
Pierre-Laurent Ribault
Les Nissan dominantes à Okayama sont en retrait pour la première séance libre de la seconde manche à Fuji, avec le meilleur temps pour la Honda NSX #100.

Le temps est fabuleux au Fuji Speedway pour la seconde manche du championnat Super GT disputée au beau milieu de la Golden Week, sous les yeux d’un public qui s’annonce nombreux en cette première édition sans l’ombre du covid 19. 

 

La première séance libre a vu les Honda NSX et les Toyota GR Supra se disputer les meilleurs temps, Sho Tsuboi postant en début de séance le meilleur temps sur la Toyota Supra TOM’S #36, devant Matsushita sur la Honda Real Racing #17, un classement qui n’a pas changé jusqu’au dernier quart d’heure de la séance, lorsque les pilotes se sont lancés dans des simulations de qualification.  

Le résultat reflète une domination claire des voitures équipées en Bridgestone, qui place neuf de ses dix équipes en haut du classement. Le ballast de succès a joué un rôle certain également et handicapé les Nissan Z, la meilleure représentante du camp Nissan étant la #1 de Bertrand Baguette et Kazuki Hiramine au huitième rang.  

 

Au-dessus de cette position, les NSX et les Supra sont intercalées. Le meilleur temps de la matinée appartient à Tadasuke Makino sur la Honda #100 en 1:27.629, devant un très rapide Kenta Yamashita à un petit centième seulement malgré un lest de 16 kg.  

On retrouve derrière la Honda ARTA #16, la première des Supra TOM’S, la #37, devant la voiture sœur #36, et la seconde NSX ARTA, la #8. 

 

En GT300, Joao Paolo Oliveira a réalisé le meilleur temps sur la Nissan GT-R GT3 #56 en 1:35.748, avec un écart plus conséquent sur le second, Takashi Kogure sur la Lamborghini Huracan GT3 JLOC #88, 3 dixièmes. Hibiki Taira sur la Toyota GR86 GT #2 est juste derrière, avec la Toyota Supra GT #52 de Saitama Toyopet et la Subaru BRZ #61 complétant le top 5.  

A noter un incident pour la Subaru qui s’est arrêtée en piste, ne repartant qu’après un reset par son pilote, et des ennuis mécaniques pour la 86 MC #5 du team Mach5, dont la panne a déclenché le seul drapeau rouge de la session. 

 

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