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Stéphane Ratel : "Attention à ne pas dérailler"
1 mar. 2022 ‧ 12:00
Si la catégorie connaît toujours un succès mondial, il faut s'assurer de ne pas casser le jouet. Les concepts présentés ces derniers mois par plusieurs constructeurs s'éloignent du postulat de départ. Attention à ne pas répéter les erreurs du passé. Stéphane Ratel sait de quoi il parle car le président-fondateur de SRO connaît mieux que quiconque le marché du GT et les travers qui peuvent découler des excès de certains.
Depuis 2006, des milliers de GT3 ont été vendues à travers le monde. Une success story planétaire qui reste d'actualité. Dans deux ans, le GT3 sera au Mans et l'histoire de cycle se répète. Le GT1 a cédé sa place au GT2, puis au GTE et maintenant au GT3. Attention toutefois à ne pas casser un jouet qui reste fragile. En sport auto comme ailleurs, on doit apprendre des erreurs du passé. Le succès du GT3 repose sur plusieurs fondements : BOP, compétition-client, prix assez proche peu importe la marque et un modèle issu de la série.
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