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Cinq questions à... Kevin Estre (Porsche)
5 juin. 2018 • 18:00
Nom : Kevin EstreEquipe : Porsche GT TeamNombre de participations : 3Regardiez-vous les 24 Heures du Mans à la télé quand vous étiez jeune ? Etiez-vous intéressé par la discipline ?"Je suis issu d'une famille impliquée en sport automobile, aussi bien mon père que mon grand-père. Je ne m'intéressais pas vraiment à l'endurance mais plus au karting et à la Formule 1. Ma passion pour la discipline est venue à l'âge de 15/16 ans. Je roulais en monoplace au sein du Graff qui avait une sensibilité Endurance avec Julien Canal et Patrick Pilet. J'ai découvert Le Mans lorsque je roulais en Porsche Cup chez Jérôme Policand qui pilotait à cette époque chez Luc Alphand Aventures. Par la suite, j'ai disputé une course de Cup sur le grand circuit." 
Quels sont vos premiers souvenirs des 24 Heures du Mans ? "Le premier souvenir qui m'a marqué reste la course de Porsche Cup en 2009. Je n'avais encore jamais roulé aussi vite dans une voiture de course car on prenait tout de même plus de 280 km/h. J'en garde un sacré souvenir. Je savais que je devais briller car tout le monde regardait cette course. Je visais déjà un poste de pilote officiel Porsche. C'était une course partagée avec la Cup anglaise. A mes yeux, c'était très important de briller pour le futur sachant que les conditions météorologiques faisaient que le choix de pneus était primordial. Il pleuvait mais il fallait partir en slicks car la piste s'est vite asséchée. Sylvain Noël avait fait le bon choix, si bien qu'il s'est facilement imposé. Je n'ai pas pu aller le chercher et je n'ai pas pu faire mieux que deuxième." Quel est votre équipage rêvé, vous y compris ?"Je prends Rob Bell. Rob a été le premier qui m'a appris l'esprit de l'Endurance. C'est un féru du travail bien fait et je sais qu'une bonne ambiance dans une équipe peut faire gagner une course. C'était fantastique de travailler à ses côtés. Il n'a pas d'ego, une solide expérience et n'est jamais pris en défaut sur la piste. Je prendrais également Henri Pescarolo qui est la personne qui m'inspire le plus. Je suivais Jérôme Dalla Lana qui roulait à la Filière Elf managée par Henri. J'avais 7 ou 8 ans mais je m'en rappelle bien. Je m'étais intéressé à l'histoire d'Henri au Mans en lisant des livres. Il a piloté avant de lancer son équipe sans avoir beaucoup de moyens." 
Quelle est la voiture que vous auriez aimé piloter aux 24 Heures du Mans ?"La Porsche 917 car je pense que c'est une auto où le pilote faisait la différence. Je ne pense pas qu'elle était facile à piloter mais ça me semble être une auto de folie. Quand on va au Musée Porsche et qu'on voit ces 917, on ne peut qu'avoir du respect. Au Mans, ça devait être quelque chose à piloter." 
Quel pilote des 24 Heures du Mans vous a fait rêver ou vous a inspiré ?"Comme je l'ai dit précédemment, Henri Pescarolo. Il est français, il a touché à beaucoup de disciplines, il a été pilote, journaliste, patron d'équipe. Henri s'est tout de même battu contre Audi avec nettement moins de moyens financiers." 
Quels sont vos premiers souvenirs des 24 Heures du Mans ? "Le premier souvenir qui m'a marqué reste la course de Porsche Cup en 2009. Je n'avais encore jamais roulé aussi vite dans une voiture de course car on prenait tout de même plus de 280 km/h. J'en garde un sacré souvenir. Je savais que je devais briller car tout le monde regardait cette course. Je visais déjà un poste de pilote officiel Porsche. C'était une course partagée avec la Cup anglaise. A mes yeux, c'était très important de briller pour le futur sachant que les conditions météorologiques faisaient que le choix de pneus était primordial. Il pleuvait mais il fallait partir en slicks car la piste s'est vite asséchée. Sylvain Noël avait fait le bon choix, si bien qu'il s'est facilement imposé. Je n'ai pas pu aller le chercher et je n'ai pas pu faire mieux que deuxième." Quel est votre équipage rêvé, vous y compris ?"Je prends Rob Bell. Rob a été le premier qui m'a appris l'esprit de l'Endurance. C'est un féru du travail bien fait et je sais qu'une bonne ambiance dans une équipe peut faire gagner une course. C'était fantastique de travailler à ses côtés. Il n'a pas d'ego, une solide expérience et n'est jamais pris en défaut sur la piste. Je prendrais également Henri Pescarolo qui est la personne qui m'inspire le plus. Je suivais Jérôme Dalla Lana qui roulait à la Filière Elf managée par Henri. J'avais 7 ou 8 ans mais je m'en rappelle bien. Je m'étais intéressé à l'histoire d'Henri au Mans en lisant des livres. Il a piloté avant de lancer son équipe sans avoir beaucoup de moyens." 
Quelle est la voiture que vous auriez aimé piloter aux 24 Heures du Mans ?"La Porsche 917 car je pense que c'est une auto où le pilote faisait la différence. Je ne pense pas qu'elle était facile à piloter mais ça me semble être une auto de folie. Quand on va au Musée Porsche et qu'on voit ces 917, on ne peut qu'avoir du respect. Au Mans, ça devait être quelque chose à piloter." 
Quel pilote des 24 Heures du Mans vous a fait rêver ou vous a inspiré ?"Comme je l'ai dit précédemment, Henri Pescarolo. Il est français, il a touché à beaucoup de disciplines, il a été pilote, journaliste, patron d'équipe. Henri s'est tout de même battu contre Audi avec nettement moins de moyens financiers." 
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