Ultimate Cup
Frédéric de Brabant, Alpine dans le coeur
24 nov. 2025 • 16:00
Frédéric de Brabant et Alpine, c'est une histoire qui dure. D'abord en GT4 via son statut de patron-pilote de Mirage Racing puis avec Chazel Technologie Course depuis 2023, toujours en GT4 puis en Alpine Cup Series.
Cette année, c'est via l'Alpine Endurance Cup, organisée en marge des meetings Ultimate Cup Series que le Français a poursuivi ses activités en compétition. Un format différent pour celui qui avait remporté l'Alpine Cup Series en classe Gentlemen et qui a réussi un doublé Alpine Endurance Cup / Ultimate GT Endurance Cup (classe UCS4) cette saison avec Louka Desgranges.
Une satisfaction pour Frédéric de Brabant, viscéralement attaché à évoluer sur les A110 quelle que soit la catégorie.
« J'ai un chouette partenariat avec mon Centre Alpine et tout le monde connait mon attachement à la marque, nous avouait l'intéressé dans le paddock de la finale du Paul Ricard. C'est ce que j'aime, cette passion autour de la marque quand on partage ça même avec les clients.
J'aurais adoré défendre mon titre en Alpine Cup Series. Le travail avait payé en 2024. Je sais que je ne serai jamais le mec le plus rapide. Par contre, je bosse. Et cela m'a surtout permis de prendre de la confiance et une certaine légitimité. Je me rappelle de Monza sous une grosse pluie, où je gagne les deux manches.
L'Alpine Endurance était une belle promesse, même si cela n'a pas autant pris qu'espéré. Nous avons été en permanence entre 4 et 5 bagnoles. C'est dommage car il y a de quoi faire pour que ce soit sympa. Personnellement, j'ai quand même pris beaucoup de plaisir parce que ça reste une super voiture, il y a de très beaux circuits dans le championnat. »
© Ultimate Cup Series
2026 en réflexion
Avec l'arrivée de l'Alpine Cup Series au coeur du Championnat de France FFSA GT, il était tentant de demander à Frédéric de Brabant si un tel programme pouvait être à l'étude pour 2026.
« On en reviendra avant tout au budget, mentionne avant tout le Français. Tout a pris un coup de chaud, et la situation économique actuelle fait que ce n'est pas forcément possible d'entrer dans des budgets.
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