WEC

Podcast Track Limit - WEC : Débriefing des 6 Heures d'Imola

Dossiers Auto
WEC
26 avr. 2025 • 17:00
par
EI
Endurance-Info analyse et débriefe la deuxième manche du WEC 2025, les 6 Heures d'Imola, dans le nouveau numéro de son podcast Track Limit.
© MPS Agency - EI

[EDIT Jeudi 24 avril : Nous sommes au courant de trois passages manquants dans cet épisode. Le problème est résolu. Toutes nos excuses pour le désagrément ... dont nous ne trouvons pas l'origine, les passages étant bien dans le fichier au montage mais sans le son sur le fichier exporté.]

 

Ferrari a mis fin à une disette remontant à 1973 pour l'emporter sur ses terres en WEC, avec le succès le week-end dernier à Imola de la 499P n°51 d'Alessandro Pier Guidi - James Calado - Antonio Giovinazzi, dominateur de bout en bout.

 

Derrière l'intouchable LMH italienne, BMW et Alpine ont brillé, quand Toyota et Porsche ont maximisé leur potentiel disponible. Et la firme allemande est revenue au sommet en LMGT3 avec Manthey 1stPhorm.

 

Quels enseignements à tirer de cette deuxième manche WEC 2025 ? Ferrari a-t-elle déjà creusé un écart trop important ? Quel impact pour le Success Handicap en LMGT3 ? Autant de questions sur lesquelles nous débattons dans le nouveau numéro de notre podcast Track Limit à écouter ci-dessous.

 

 

 

 

 

N'oubliez pas de vous abonner à notre podcast sur les différentes plates-formes via le lien ci-dessous.

Track Limit sur Spotify, Apple Podcasts, Deezer ...

Commentaires (10)

Connectez-vous pour commenter l'article

LittleBen

24 avr. 2025 • 17:42

Merci Thibaut pour ce podcast que j’attendais avec impatience, et qui permet de nuancer de nombreuses choses.
Merci aussi Laurent pour l’analogie entre la domination de Ferrari et celle de Pogacar. À bien y réfléchir elle me semble très pertinente …
On peut se plaindre et se lasser de ce type de domination.
On peut aussi la nuancer en mettant en avant le travail de l’équipe, ou en acceptant qu’il y ait des courses où tout réussit … en n’oubliant pas que l’on peut aussi avoir des jours « sans », ou à tout le moins avec des résultats moins bons qu’espérés, à Imola en 2024 comme à l’Amstel 2025.
Et si les nuances et les explications d’un expert ne suffisent pas, on peut bien sûr être tenté de trouver une autre explication à ce type domination, comme une intervention extérieure, qu’elle soit mécanique ou « chimique » pour un cycliste ou bien qu’elle consiste en une forme de théorie du complot où organisateurs, sponsors et instances dirigeantes choisiraient à l’avance les vainqueurs, et de façon flagrante encore bien.
Vivement les prochaines courses, les prochains rééquilibrages … et vivement vos prochaines analyses!

Pico32

25 avr. 2025 • 10:34

Merci pour ces explications détaillées de la BOP, ce qui nuance les performances de mes chouchous : les valkyrie
Qui sont donc bopé sur la meilleure des voitures, évidemment d'un coup tout semble plus logique même si il reste bcp de développement. Mais le potentiel est là et la fiabilité aussi
Vivement la première course où ils auront leurs propres bop pour les situer un peu mieux car pour l'instant impossible a juger

David Giraud

25 avr. 2025 • 13:54

En terme de stratégie, la 83 a loupé son pari. Après le safety car, Kubika a pratiquer le lift and coast de manière impressionnante. Ça se comprend car il lui était impossible de double Dries Vantoore. En revanche j'étais très surpris de constater qu'il a continué à le faire pendant les 2 tours qui séparent l'arrêt de la 7, 6,15 et son propre arrêt alors que d'habitude ces tours sont cruciaux pour sortir des stands devant. J'ai pensé à ce moment là qu'il faisait le pari d'un safety car qu'il lui aurait permis d'économiser les 3/4 tours manquant.

Cabrelbeuk

27 avr. 2025 • 4:25

Merci pour l'analyse !

peetleouf

28 avr. 2025 • 10:16

En écoutant le podcast ce matin dans la voiture, la petite expression téléscopée "C'est pas un perdreau de 6 semaines" m'a fait sourire ! C'était la cerise sur le pompom ! :D