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WEC / Fuji - Stats en vrac !

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9 sep. 2024 • 11:00
par
EI (avec le FIA WEC)
© Toyota Gazoo Racing
  • Cinq pilotes présents cette année étaient déjà là en 2012 pour la première des 6 Heures de Fuji version FIA WEC ⬆️. Il s'agit de Nicolas Lapierre, André Lotterer, Neel Jani, Richard Lietz et Christian Ried. 27 voitures étaient inscrites cette année-là, contre 36 cette année.

 

  • Des engagés attendus sur la grille dimanche, sept ont inscrit leur nom au palmarès de l'épreuve nippone au classement général : Nicolas Lapierre (2012 et 2013), Sébastien Buemi (2014, 2017, 2019 et 2022), Brendon Hartley (2015, 2019 et 2022), la doublette Mike Conway / Kamui Kobayashi (2016, 2018 et 2023), José María López (2018 et 2023) et Ryō Hirakawa (2022).

 

  • Ils sont en revanche un total de 26 à être monté sur la plus haute marche du podium des 6 Heures de Fuji toutes classes confondues : Nico Lapierre, Richard Lietz, Fred Makowiecki, Sébastien Buemi, Brendon Hartley, Mike Conway, Kamui Kobayashi, Harry Tincknell, Will Stevens, James Calado, Alessandro Pier Guidi, Thomas Flohr, Francesco Castellacci, Miguel Molina,  José María López, Michael Christensen, Kévin Estre, Marco Sørensen, Charlie Eastwood ⬇️, Nyck de Vries, Ryō Hirakawa, Sean Gelael, Robin Frijns, Dries Vanthoor, Rui Andrade et Robert Kubica.

 

  • Parmi le contingent des pilotes Hypercar présents cette année, cinq ont déjà raflé la mise à Fuji, en LMP2. Il s'agit de Will Stevens (2016), Nyck de Vries (2019), Dries Vanthoor et Robin Frijns (2022) ainsi que Robert Kubica (2023).
© Aston Martin Racing
  • Brendon Hartley va participer, ce week-end, à sa 34e course avec le Toyota Gazoo Racing. Si cela n'a rien de dingue, le Néo-Zélandais égalera à cette occasion son nombre total d'apparitions avec Porsche en LMP1.

 

  • L'équipe WRT est invaincue au Japon. Et pour cause, la formation belge s'est imposée en LMP2, tant en 2022 qu'en 2023. BMW ayant également enregistré, à Fuji, son premier podium en WEC en 2018, faut-il s'attendre à une victoire en LMGT3 ou en Hypercar dimanche ? 

 

  • C'est à Fuji, en 2019, que la Toyota n°8 a réalisé le seul Grand Chelem enregistré dans la catégorie reine depuis la renaissance du FIA WEC en 2012. Cette année-là, Sébastien Buemi, Brendon Hartley et Kazuki Nakajima avaient dominé toutes les séances d'essais libres puis signé la pole position avant de l'emporter après avoir mené les 232 tours et signé le meilleur tour en course. 

 

  • Avec 16 victoires, Toyota est le constructeur le plus prolifique sur l'épreuve japonaise, connue entre 1967 et 2007 sous le nom de 1000 km de Fuji, avec une première victoire en 1967 grâce à une 2000GT emmenée par Yoshio Otsubo / Shihomi Hosoya. Lauréat en 1968, 1969, 1974 et 1979, Hiroshi Fushida demeure le recordman de victoires à égalité avec Sébastien Buemi (2014, 2017, 2019 et 2022) et Kazuki Nakajima ⬇️ (2012, 2013, 2017 et 2019).
Photo : Toyota
  • Depuis que le WEC fait escale à Fuji, Toyota ne s'est incliné qu'à une seule reprise. C'était en 2015, face à Porsche. Mais si une GR010 Hybrid s'impose dimanche, alors le géant nippon deviendrait le premier constructeur à signer 10 victoires sur un même circuit en WEC.

 

  • Côté Grand Tourisme, c'est Aston Martin qui se sent à Fuji comme à la maison. Le constructeur britannique totalise sept victoires toutes catégories confondues contre six à Ferrari et quatre à Porsche. Ford et Corvette se sont tous deux imposés à une seule reprise.

 

  • Fuji est la 70e course du WEC à laquelle participeront Neel Jani et Davide Rigon. Le Suisse et l'Italien rejoindront James Calado, Brendon Hartley, Nico Lapierre et André Lotterer parmi les pilotes qui franchiront ce cap assez exclusif en 2024. Pour rappel, avec 86 départs, Christian Ried demeure le plus capé.

 

  • L'édition 2024 du Lone Star Le Mans a offert la deuxième arrivée la plus serrée de l'histoire du WEC. En effet, nous omettons volontairement l'édition 2017 de l'épreuve texane, l'écart de 0''276 entre les deux Porsche 919 Hybrid étant uniquement dû à une consigne d'écurie tardive de la part du constructeur allemand. L'arrivée la plus serrée de l'histoire demeure donc l'édition 2016 des 6 Heures de Fuji, à l'issue de laquelle la Toyota TS050 Hybrid de Conway / Kobayashi / Sarrazin avait devancé de 1''439 l'Audi R18 de Duval / Di Grassi / Jarvis. Une épreuve considérée par beaucoup comme l'une des plus belles de l'histoire du FIA WEC depuis sa renaissance en 2012.

Commentaires (2)

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Iragos

9 sep. 2024 • 20:06

Toyota a lâché uniquement en 2015 ? Alors même Fuji n'a pas pu sauver la catastrophe que fût la TS040 cette année là, mais le fait qu'il n'est pas perdu depuis est impressionnant

Panoz81

10 sep. 2024 • 7:57

petite rectifivation. Hirakawa c'est en 2022 et non 2023 ;)