Les nouveautés miniatures du moment
1 - TROPHEE CENTENAIRE SPARK (CN) réf. 18ACO05
Les collectionneurs de tout ce qui concerne les 24 Heures du Mans vont être ravis de pouvoir intégrer dans leur vitrine le Trophée réalisé par la Monnaie de Paris à la demande de l’ACO en 2023 pour fêter le centenaire de la création de l’épreuve. Sa reproduction au 1/18, peut contrarier les tenants de 1/43 ou du 1/24 mais elle permet de le mettre en valeur parmi des miniatures qu’elles que soient leur échelle.
2 - ASTON MARTIN VANTAGE AMR GT3 EVO SPARK (CN) réf. 43SPA2014
Un an après Le Mans, le circuit de Spa-Francorchamps a fêté en 2024 son centenaire. Symboliquement, la victoire avait une importance plus grande que d’habitude. C’est un coup du sort qui fit de l’Aston Martin de Mattia Drudi-Nicki Thiim-Marco Sorensen la lauréate de l’épreuve qui terminèrent avec 33’’ d’avance sur une Ferrari bloquée pendant une minute dans la voie des stands !

3 - CHENARD & WALCKER TANK 1.1L SPARK (CN) réf. S8102
En 1923, pour la première édition, le règlement des 24 Heures du Mans parlait de voitures au catalogue des constructeurs. Deux ans plus tard, celui de Chenard & Walcker avait donc intégré ce tank pensé avant tout pour affronter des conditions optimales la ligne droite des Hunaudières. Voilà donc le ‘’tank’’ de Raymond Glaszmann et Manso de Zuniga, dixièmes au général et premiers de leur catégorie. La n°49, treizième, est également dispo (réf. S8103).

4 - ECOSSE C2-COSWORTH SPARK (CN) réf. S8223
En 1983, un groupe d’enthousiastes redonnait vie à la glorieuse Ecurie Ecosse victorieuse au Mans en 1956 et 57 (Jaguar D). Sur la base d’un châssis de Gr6 ex-Alain de Cadenet 1978, Ray Mallock réalisa une voiture fermée correspondant au Groupe C2. Engagée aux 24 Heures 1984, si cette n°77 se qualifia avec en 4ème position dans sa catégorie, la course du trio Leslie-Wilds-Duffield pris fin dès son 36ème tour (pompe à essence puis batterie).

5 - FERRARI 750 MONZA ART MODEL (IT) réf. Art464
En 1955 le suivi des courses d’endurance, surtout terminée de nuit, était moins précis que de nos jours. Résultat, Allen Guiberson, propriétaire de la 750 Monza a longtemps contesté la victoire pour un tour attribuée à la Jaguar D de Mike Hawthorn-Phil Walters engagée par Briggs Cunningham aux 12 Heures de Sebring. Un mauvais épisode pour Phil Hill, finalement vainqueur en 1958, 59 et 61. Carroll Shelby par contre devra attendre l’épopée des Cobra et des MKII pour ponter sur le plus haute marque du podium, mais en tant que concurrent.

6 - LAMBORGHINI HURACAN GT3 EVO2 SPARK (CN) réf.18S660
Bravo à Spark pour être venu à bout de la décoration de l’Huracan de Sarah Bovy, Rahel Frey et Michelle Gatting aux 24 Heures du Mans 2024. Trente-deuxième au général et cinquième du GT3, cette voiture est devenue la Lamborghini la mieux placée dans une catégorie dans l’histoire de cette course. Et sans un contact avec une 963 Hypercar, aurait-elle pu finir plus près de la Porsche victorieuse de la catégorie.

7 - MASERATI 450S SPARK (CN) réf. S4546
En 1957, avec la 450S, le constructeur de Modene pensait avoir l’arme parfaite pour dominer celui de Maranello, résultat confirmé par la victoire de Juan Manuel Fangio et Jean Behra à Sebring à la mi-mars. Hélas dans la Sarthe, les deux marques rivales s’inclineront devant Jaguar aux ambitions à priori moindres. Ainsi ce spyder confié à Maurice Trintignant et André Simon ne dépassera pas le cap de la 3ème heure course après avoir mené la course soixante minutes plus tôt.

8 - MATRA MS670 PROFIL 24 (FR) réf. P1214K
Jean-Philippe Boyer ne fait pas que dans le 1/24 – malgré sa marque Profil 24 – ou le 1/43. Voici la Matra de François Cevert et Howden Ganley, deuxièmes des 24 Heures du Mans 1972 à l’échelle 1/12. Un kit destiné à des amateurs confirmés car avec un capot moteur et la porte côté pilote ouvrants pas question de ‘’bâcler’’ le V12 ou le châssis sans oublier un cockpit de toure façon visible La gagnante de l’épreuve (réf. P1213K) est disponible.

9 - PORSCHE 911 T SPARK (CN) réf. S975
Spark en termine avec la saga des 911 première génération au Mans. Et si certaines ont mis du temps à sortir c’est qu’il n’est pas toujours facile de disposer d’un tour complet de la voiture en version course et non pas pesage ou essais. Ainsi ce n’est que grâce aux photos de Luc Joly que, pour la première fois, cette miniature bénéficie d’une décoration exacte de son toit. Il s’agit de la 911 T de René Mazzia et Pierre Mauroy lors de l’édition 1969, voiture qui quittera la course avant son terme.

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