Auto
Stéphane Richelmi : "J'espère que c'est le début d'une nouvelle aventure "
17 jan. 2018 • 10:00
Champion du Monde d’Endurance LMP2 en 2016 chez Signatech-Alpine, Stéphane Richelmi a fait une pause en prototype pour rejoindre une Audi R8 LMS du Belgian Audi Club Team WRT en Blancpain GT Series la saison dernière. 2017 n’a pas répondu à ses attentes avec des résultats qui n’ont pas été au rendez-vous. En attendant d’en savoir plus sur son programme 2018, le Monégasque dispute l’Asian Le Mans Series sur une des deux ORECA 05 du Jackie Chan DC Racing x Jota Sport qu’il partage avec Thomas Laurent et Harrison Newey. A une manche de la fin du championnat, le trio mène le classement général et Stéphane Richelmi se verrait bien poursuivre l’aventure au sein du team chinois, cette fois sur la scène mondiale.
« C’est une belle opportunité de pouvoir rouler en Asian Le Mans Series pour le compte du Jackie Chan DC Racing x Jota Sport, » nous a déclaré Stéphane Richelmi. « Cela me permet de retrouver le pilotage d’un prototype et de débuter une aventure avec l’équipe. Ma saison 2017 a été compliquée car nous avons connu de multiples soucis. J’étais déjà en contact avec David (Cheng) depuis que j'ai roulé en LMP2 chez Signatech-Alpine. Le team voulait faire une auto pour gagner l’Asian. Mes coéquipiers répondent présents en piste. Certes, nous ne sommes pas nombreux dans la catégorie mais le niveau est bien là. L’objectif est clairement d’aller chercher le titre. Nous comptons deux victoires en trois courses, ce qui est positif. »L’ORECA 05 #8 s’est d’abord imposée à Zhuhai avant de récidiver à Fuji. Sans un problème de boîte de vitesses, les 6 Heures de Buriram pouvaient elles aussi tomber dans l’escarcelle de Stéphane Richelmi et ses compères. « Le championnat est très bien organisé et le stress bien moins important qu’en FIA WEC, » souligne l’ancien pilote GP2 Series.
2018 pourrait bien passer par un retour en LMP2 même si la piste GT n’est pas totalement écartée : « Pour ce qui est du GT, ce sera en fonction des opportunités. La performance était là la saison dernière mais nous n’avons pas pu la transformer au niveau des résultats. Rouler uniquement en Blancpain Endurance ne donne pas suffisamment de temps de roulage. Pour être vraiment performant en GT, il faut rouler le plus possible. J’espère bien revenir en LMP2 sur un programme complet et piloter cette ORECA 07 qui doit se rapprocher des sensations d’une monoplace de GP2. J’ai hâte d'en prendre le volant. »
« C’est une belle opportunité de pouvoir rouler en Asian Le Mans Series pour le compte du Jackie Chan DC Racing x Jota Sport, » nous a déclaré Stéphane Richelmi. « Cela me permet de retrouver le pilotage d’un prototype et de débuter une aventure avec l’équipe. Ma saison 2017 a été compliquée car nous avons connu de multiples soucis. J’étais déjà en contact avec David (Cheng) depuis que j'ai roulé en LMP2 chez Signatech-Alpine. Le team voulait faire une auto pour gagner l’Asian. Mes coéquipiers répondent présents en piste. Certes, nous ne sommes pas nombreux dans la catégorie mais le niveau est bien là. L’objectif est clairement d’aller chercher le titre. Nous comptons deux victoires en trois courses, ce qui est positif. »L’ORECA 05 #8 s’est d’abord imposée à Zhuhai avant de récidiver à Fuji. Sans un problème de boîte de vitesses, les 6 Heures de Buriram pouvaient elles aussi tomber dans l’escarcelle de Stéphane Richelmi et ses compères. « Le championnat est très bien organisé et le stress bien moins important qu’en FIA WEC, » souligne l’ancien pilote GP2 Series.
2018 pourrait bien passer par un retour en LMP2 même si la piste GT n’est pas totalement écartée : « Pour ce qui est du GT, ce sera en fonction des opportunités. La performance était là la saison dernière mais nous n’avons pas pu la transformer au niveau des résultats. Rouler uniquement en Blancpain Endurance ne donne pas suffisamment de temps de roulage. Pour être vraiment performant en GT, il faut rouler le plus possible. J’espère bien revenir en LMP2 sur un programme complet et piloter cette ORECA 07 qui doit se rapprocher des sensations d’une monoplace de GP2. J’ai hâte d'en prendre le volant. »
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