Auto
Maxime Soulet (Bentley Team M-Sport) : "2019 sera positif pour Bentley"
29 mar. 2019 • 12:00
Malchanceux aux 12 Heures de Bathurst, Bentley Team M-Sport espère bien retrouver des couleurs en Intercontinental GT Challenge à l'occasion 8 Heures de Californie. Le team britannique ne débarque pas dans l'inconnu à Laguna Seca puisque les Continental GT3 de dernière génération étaient déjà là en octobre dernier. Maxime Soulet est, pour sa part, en mode nouveauté sur la #108 avec deux coéquipiers qui découvrent la Bentley ce week-end. Le Belge, qui reste sur un très beau meeting Blancpain GT World Challenge America à Austin, fait donc office de capitaine d'équipage. Andy Soucek est absent à Laguna Seca et Vincent Abril a rejoint le camp adverse de Mercedes chez AKKA-ASP. "Pour moi, la saison américaine a bien débuté avec K-PAX Racing à Austin avec une victoire en course 1 et une 4e place dans la suivante", nous a déclaré Maxime Soulet. "Ce meeting a fait du bien à tout le monde chez Bentley. Cela fait un an qu'on attendait un succès de la nouvelle Continental GT3."
Dans deux semaines, on retrouvera le pilote belge à Monza pour le coup d'envoi de la saison européenne : "2019 est l'année du changement suite au départ de Vince (Abril). C'est vraiment dommage car on s'entendait bien. Je pense que cette saison sera positive pour Bentley car les petits soucis de jeunesse ont été gommés. L'auto a toujours été dans le coup l'année passée." Avant de penser à Monza, l'objectif sera de briller ici à Laguna Seca : "Le gros souci sur ce circuit est le manque de grip, mais c'est le même problème pour tout le monde. On sera là en course, cependant ce sera certainement un peu plus compliqué en qualification. Par rapport à 2018, nous avons un peu moins de moteur (puissance) et 10 kg en plus. Je dois aussi m'habituer à deux nouveaux coéquipiers, ce qui n'est pas évident. Avec Andy et Vince, nous avions nos habitudes. Andy et moi sommes ensemble depuis 5 ans et 4 avec Vince. On partageait les mêmes avions, on venait sur les circuits dans la même voiture. Ce meeting est un peu étrange. Je dois donc laisser un peu plus de roulage à Markus (Palttala) et Lucas (Ordonez)."
Le Bentley Boy est ravi de partager son temps entre l'Europe et les Etats-Unis cette saison : "J'adore les courses américaines où l'ambiance est différente, les circuits sont différents. C'est du "Pure Racing". Les tracés ne pardonnent pas la moindre erreur. Entre Europe et Etats-Unis, je roule pour deux équipes différentes. J'amène ce que je peux apprendre des deux côtés. Ici, on roule beaucoup en essais. Sitôt les 8 Heures de Californie terminées, je pars rouler sur le VIR (Virginia International Raceway, ndlr)."
L'année des 100 ans de la marque, Bentley aimerait bien enfin décrocher les Total 24 Heures, ce qui ne serait pas pour déplaire au seul pilote belge de l'effectif : "Nous n'aurons pas l'opportunité de remporter Spa six années de suite. Cela fait quatre ans qu'on passe tout près. C'est déjà exceptionnel d'avoir eu cette possibilité. On doit aborder cette course comme les autres. On voit que les épreuves de GT3 sont de plus en plus serrées. Cela ne sert à rien de polémiquer sur la BOP qui est ce qu'elle est. Il faut s'adapter et faire avec. Claude (Surmont) fait du très bon travail car chaque auto a des avantages et des inconvénients. On est arrivé à quelque chose de propre."
Dans deux semaines, on retrouvera le pilote belge à Monza pour le coup d'envoi de la saison européenne : "2019 est l'année du changement suite au départ de Vince (Abril). C'est vraiment dommage car on s'entendait bien. Je pense que cette saison sera positive pour Bentley car les petits soucis de jeunesse ont été gommés. L'auto a toujours été dans le coup l'année passée." Avant de penser à Monza, l'objectif sera de briller ici à Laguna Seca : "Le gros souci sur ce circuit est le manque de grip, mais c'est le même problème pour tout le monde. On sera là en course, cependant ce sera certainement un peu plus compliqué en qualification. Par rapport à 2018, nous avons un peu moins de moteur (puissance) et 10 kg en plus. Je dois aussi m'habituer à deux nouveaux coéquipiers, ce qui n'est pas évident. Avec Andy et Vince, nous avions nos habitudes. Andy et moi sommes ensemble depuis 5 ans et 4 avec Vince. On partageait les mêmes avions, on venait sur les circuits dans la même voiture. Ce meeting est un peu étrange. Je dois donc laisser un peu plus de roulage à Markus (Palttala) et Lucas (Ordonez)."
Le Bentley Boy est ravi de partager son temps entre l'Europe et les Etats-Unis cette saison : "J'adore les courses américaines où l'ambiance est différente, les circuits sont différents. C'est du "Pure Racing". Les tracés ne pardonnent pas la moindre erreur. Entre Europe et Etats-Unis, je roule pour deux équipes différentes. J'amène ce que je peux apprendre des deux côtés. Ici, on roule beaucoup en essais. Sitôt les 8 Heures de Californie terminées, je pars rouler sur le VIR (Virginia International Raceway, ndlr)."
L'année des 100 ans de la marque, Bentley aimerait bien enfin décrocher les Total 24 Heures, ce qui ne serait pas pour déplaire au seul pilote belge de l'effectif : "Nous n'aurons pas l'opportunité de remporter Spa six années de suite. Cela fait quatre ans qu'on passe tout près. C'est déjà exceptionnel d'avoir eu cette possibilité. On doit aborder cette course comme les autres. On voit que les épreuves de GT3 sont de plus en plus serrées. Cela ne sert à rien de polémiquer sur la BOP qui est ce qu'elle est. Il faut s'adapter et faire avec. Claude (Surmont) fait du très bon travail car chaque auto a des avantages et des inconvénients. On est arrivé à quelque chose de propre."
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