Auto
Matthieu Vaxivière (R-Motorsport) : "Prendre soin de l'auto tout en attaquant"
28 juil. 2018 • 11:13
Après des 24 Heures de Spa 2012 au volant d'une petite Porsche Cup/Alméras, Matthieu Vaxivière retrouve la classique spadoise mais sur une GT3 de pointe. Le vainqueur de la manche Blancpain GT Series Endurance de Silverstone a connu une session qualificative compliquée puisque la #76 a manqué la Q4 suite à un contact de Jake Dennis qui a endommagé le radiateur.Matthieu Vaxivière, Jake Dennis et Nicki Thiim partiront donc en fond de grille sur l'Aston Martin V12 Vantage GT3/R-Motorsport #76. "Le contact complique la donne", nous a confié Matthieu Vaxivière. "Je suis satisfait de ma qualification et nous avions le niveau pour passer en top 20. L'auto est bien sur un tour mais la chaleur n'a pas été facile à gérer dans l'habitacle durant les essais."
La consommation de carburant et la dégradation des pneus seront à surveiller durant la course, comme l'a précisé le Français : "Spa est le circuit de l'année qui est le plus compliqué à gérer en termes de dégradation des pneus mais aussi en consommation. On va se battre à 200%. L'équipe est au point, notre équipage est homogène et l'auto a prouvé sa fiabilité dans le passé. Avec une seule catégorie en piste, la stratégie à mettre en place n'est pas simple."
Matthieu Vaxivière a découvert les 24 Heures de Spa sur une Porsche Cup en 2012, ce qui lui laisse un bon souvenir : "Cette course m'a de suite plu. Nous étions 26e au milieu de la nuit avec notre petite Cup parmi un peloton de furieux en GT3. J'ai adoré rouler à Spa. Quand tu disputes une course de 24 heures, tu te dis le lundi que tu ne veux plus revenir tellement c'est intense et deux jours plus tard, tu n'attends qu'une chose : revenir." 
"Sur le papier, nous faisons partie des outsiders", tient à préciser le pilote R-Motorsport. "Nous sommes dans le bon paquet mais tout le monde est fort. Il faudra sortir l'attaque maximale car on s'attend à 24h de qualif'. La clé sera de prendre soin de l'auto tout en attaquant. Il n'y a pas le choix sous peine d'être hors du coup. Le trafic sera aussi un élément essentiel."
La consommation de carburant et la dégradation des pneus seront à surveiller durant la course, comme l'a précisé le Français : "Spa est le circuit de l'année qui est le plus compliqué à gérer en termes de dégradation des pneus mais aussi en consommation. On va se battre à 200%. L'équipe est au point, notre équipage est homogène et l'auto a prouvé sa fiabilité dans le passé. Avec une seule catégorie en piste, la stratégie à mettre en place n'est pas simple."
Matthieu Vaxivière a découvert les 24 Heures de Spa sur une Porsche Cup en 2012, ce qui lui laisse un bon souvenir : "Cette course m'a de suite plu. Nous étions 26e au milieu de la nuit avec notre petite Cup parmi un peloton de furieux en GT3. J'ai adoré rouler à Spa. Quand tu disputes une course de 24 heures, tu te dis le lundi que tu ne veux plus revenir tellement c'est intense et deux jours plus tard, tu n'attends qu'une chose : revenir." 
"Sur le papier, nous faisons partie des outsiders", tient à préciser le pilote R-Motorsport. "Nous sommes dans le bon paquet mais tout le monde est fort. Il faudra sortir l'attaque maximale car on s'attend à 24h de qualif'. La clé sera de prendre soin de l'auto tout en attaquant. Il n'y a pas le choix sous peine d'être hors du coup. Le trafic sera aussi un élément essentiel."
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