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Cinq questions à... Andrea Pizzitola (G-Drive Racing)
9 juin. 2018 • 10:00
Nom : Andrea PizzitolaEquipe : G-Drive Racing sur l’ORECA 07 n°26 (LMP2)Nombre de participations : 1Meilleur résultat : 17e au général, 12e en LMP2, sur la Ligier JS P2 n°25 de Algarve Pro Racing en 2016 avec Chris Hoy et Michael Munemann.Regardiez-vous les 24 Heures du Mans à la télé quand vous étiez jeune ? Etiez-vous intéressé par cette épreuve? « Je dois avouer que je ne connaissais pas bien les 24 Heures du Mans avant ma première participation en 2016. J'étais très focalisé sur la monoplace car je rêvais de Formule 1. Enfant, je regardais plus les Grands Prix. J'ai vu les 24 Heures du Mans pour la première fois à la télé l'année qui a précédé ma première venue au Mans. »
Quels sont vos premiers souvenirs des 24 Heures du Mans ? « Comme je l'ai précisé, je n’étais jamais venu au Mans, même en spectateur. En 2016, je sortais du sprint et ma première course d'endurance que je fais, c'est Le Mans. Je n'avais jamais fait aucune épreuve de ce genre auparavant que ce soit en WEC ni même en ELMS. J’ai donc vécu une semaine complètement folle, ce fut la chose la plus incroyable de toute ma vie et de loin. J’ai fait des supers courses, dans des endroits incroyables mais là, c’était juste une semaine de dingue. J’ai tout découvert : le pesage, la parade, le circuit, etc…Lors de mon premier tour sur ce tracé, j’ai vraiment réalisé : "Ça y est, je suis sur la piste du Mans, à 300 km/h, dans une LMP2, et je me fais déposer par une LMP1". Que du plaisir ! Cette année-là , je faisais équipe avec Sir Chris Hoy, un grand compétiteur et un champion. A chaque fois qu’il mettait le casque ou qu’il l’enlevait, il était à fond et travaillait énormément. De plus, humainement, c’est un homme génial, qui pense d’abord aux autres avant de penser à lui. Nous étions avec Nissan, il fallait que nous allions au bout de la course. La BBC terminait au Mans un reportage sur Chris Hoy qui avait duré deux ans ! C'était quelque chose de très important et ce fut super pour moi. J'ai tout découvert mais je n'ai rien subi et j'ai surtout pris un plaisir énorme. »Quel est votre équipage rêvé aux 24 Heures du Mans, vous inclus ?« Je vais être tout à fait honnête et dire que je ne peux pas rêver mieux que Roman (Rusinov) et Jean-Eric (Vergne) pour deux raisons. D'abord, Roman est tout le temps très rapide au Mans. Il fait partie des 5 pilotes les plus rapides chaque année en LMP2. Ensuite, Jean-Eric est quelqu'un de très professionnel, de très rapide, qui a un gros rythme en piste et qui a beaucoup d'expérience. Il faut maintenant éviter les embûches et les accrochages mais je ne pouvais rêver meilleurs coéquipiers ! »Quelle voiture des 24 Heures du Mans auriez-vous aimer piloter au Mans ?« On regarde toujours vers les meilleurs. Même si ce n'est pas si ancien, j'ai adoré la période Audi Sport. Je sais, c'est récent mais je suis encore jeune (Andrea n'a que 25 ans, ndlr). Je me rappelle donc de l’époque des Audi R8. Une autre voiture m'a fait rêver : la Pescarolo (C60) qui était aux couleurs Playstation, je la trouvais juste magnifique. »
Quel pilote des 24 Heures du Mans vous a fait rêver ?« Allan McNish car il était agressif et prenait tous les risques en piste. Voir un tel engagement et une telle prise de risque sur une course de 24 heures, c'était impressionnant et tellement difficile à faire. J'estime beaucoup ce pilote ! »
Quels sont vos premiers souvenirs des 24 Heures du Mans ? « Comme je l'ai précisé, je n’étais jamais venu au Mans, même en spectateur. En 2016, je sortais du sprint et ma première course d'endurance que je fais, c'est Le Mans. Je n'avais jamais fait aucune épreuve de ce genre auparavant que ce soit en WEC ni même en ELMS. J’ai donc vécu une semaine complètement folle, ce fut la chose la plus incroyable de toute ma vie et de loin. J’ai fait des supers courses, dans des endroits incroyables mais là, c’était juste une semaine de dingue. J’ai tout découvert : le pesage, la parade, le circuit, etc…Lors de mon premier tour sur ce tracé, j’ai vraiment réalisé : "Ça y est, je suis sur la piste du Mans, à 300 km/h, dans une LMP2, et je me fais déposer par une LMP1". Que du plaisir ! Cette année-là , je faisais équipe avec Sir Chris Hoy, un grand compétiteur et un champion. A chaque fois qu’il mettait le casque ou qu’il l’enlevait, il était à fond et travaillait énormément. De plus, humainement, c’est un homme génial, qui pense d’abord aux autres avant de penser à lui. Nous étions avec Nissan, il fallait que nous allions au bout de la course. La BBC terminait au Mans un reportage sur Chris Hoy qui avait duré deux ans ! C'était quelque chose de très important et ce fut super pour moi. J'ai tout découvert mais je n'ai rien subi et j'ai surtout pris un plaisir énorme. »Quel est votre équipage rêvé aux 24 Heures du Mans, vous inclus ?« Je vais être tout à fait honnête et dire que je ne peux pas rêver mieux que Roman (Rusinov) et Jean-Eric (Vergne) pour deux raisons. D'abord, Roman est tout le temps très rapide au Mans. Il fait partie des 5 pilotes les plus rapides chaque année en LMP2. Ensuite, Jean-Eric est quelqu'un de très professionnel, de très rapide, qui a un gros rythme en piste et qui a beaucoup d'expérience. Il faut maintenant éviter les embûches et les accrochages mais je ne pouvais rêver meilleurs coéquipiers ! »Quelle voiture des 24 Heures du Mans auriez-vous aimer piloter au Mans ?« On regarde toujours vers les meilleurs. Même si ce n'est pas si ancien, j'ai adoré la période Audi Sport. Je sais, c'est récent mais je suis encore jeune (Andrea n'a que 25 ans, ndlr). Je me rappelle donc de l’époque des Audi R8. Une autre voiture m'a fait rêver : la Pescarolo (C60) qui était aux couleurs Playstation, je la trouvais juste magnifique. »
Quel pilote des 24 Heures du Mans vous a fait rêver ?« Allan McNish car il était agressif et prenait tous les risques en piste. Voir un tel engagement et une telle prise de risque sur une course de 24 heures, c'était impressionnant et tellement difficile à faire. J'estime beaucoup ce pilote ! » 
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